• 7/2/19 : Grande-Anse à la Réunion (FIN) etc...

     

    Bonjour à toutes et tous et bienvenue sur mon blog.

     

    7/2/19 : Grande-Anse à la Réunion (FIN) etc...

     

    Voici le dernier article de ma balade à GRANDE-ANSE à la Réunion où vous verrez des photos, diapos de Grande-Anse mais également des photos du retour pour rentrer chez moi en fin d'AM.

    Pour commencer ci-dessous un diapo

    7/2/19 : Grande-Anse à la Réunion (FIN) etc...

    Puis quelques photos

    7/2/19 : Grande-Anse à la Réunion (FIN) etc...

    Vous avez vu on dirait qu'il y a plein d'étoiles dans la mer !!!

    7/2/19 : Grande-Anse à la Réunion (FIN) etc...

     

     

    7/2/19 : Grande-Anse à la Réunion (FIN) etc...

    Ci-dessus le pimpin : 

    Vacoa - Pandanus utilis

    On le trouve à basse altitude notamment le long du littoral de Saint-Philippe et Sainte-Rose dans le sud sauvage. Le vacoa est prédominant sur certains sites tels que le Cap Méchant ou encore la Marine Vincendo, participant à faire de ces derniers des lieux magnifiques. Il est également cultivé pour ses qualités diverses.

     

    Son fruit est comestible. Le chou de vacoa est mangé sous différentes formes (daube, salade, ...) et surtout avec le boucané. Ses feuilles sont utilisées pour l'artisanat : sacs, chapeaux, vanneries, ... Pour ceux qui voudraient découvrir cet art, sachez qu'il existe des ateliers de tressage de vacoa à ce jour à La Réunion.

     

    L'origine de l'arbre le vacoa n'est pas exactement connue, mais il est fort probable qu'il soit endémique de l'île de la Réunion et/ou des autres îles de l'Océan Indien. Enfin, il existe plusieurs espèces de vacoas à La Réunion : vacoa pimpin, vacoa de hauts, ...

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    Ci-dessous voici de nouveau un autre DIAPO

     

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    Quelques photos de nouveau

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    On rentre maintenant de notre balade à GRANDE-ANSE

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    Je prenais les photos à travers la vitre côté passager au retour

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    la coulée de lave de PITON STE ROSE puis vous y verrez l'église plus bas

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    Ci-dessous : 

    Notre Dames des Laves, l’église miraculée de Sainte Rose

     

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    Ci-dessus photo du net pour mieux voir les coulées de lave 

    26 Mars 2013

    Le Piton de la Fournaise à La Réunion domine les côtes de l’est de l’île… Encore en activité, ses éruptions sont à chaque fois un grand moment qui laisse des traces très visibles dans l’environnement. Notre Dame des Laves en a fait les frais mais semble avoir su dompter ce géant de feu et ainsi prévenir sa destruction.

     

    Sainte Rose est une petite commune de l’île de La Réunion située à l’Est de l’île. Sur une partie de son territoire se trouve le volcan actif de l’île, le Piton de la Fournaise. Cette ville est donc confrontée à ses caprices. Elle a ainsi déjà subi de nombreuses coulées de laves, la plus impressionnante ayant été celle de 1977.

     

    Notre Dame des Laves, grand lieu de culte réunionnais

    L’église catholique peinte en rose de Sainte Rose, Notre-Dame-des-laves, est l’un des grands lieux de culte pour les Réunionnais. Elle a été construite en 1927. Tous les habitants de Sainte Rose et de ses alentours s’y rendaient pour assister à la messe.

     

    Sainte Rose étant une grande ville qui s’étend sur 20 km, accueillait de nombreux fidèles. Au fil du temps, ils se retrouvaient à l’étroit. Elle a donc été agrandie en 1935. En 1948, elle a été détruite par un cyclone puis reconstruite en 1952. Elle est alors consacrée à l’Enfant Jésus de Prague. Depuis, l’église de Sainte Rose accueille toujours ses fidèles.

     

    Le miracle de Sainte Rose

     

    En 1977, le Piton de la Fournaise se réveille et entre en éruption. Il va alors faire de nombreux dégâts. Les coulées de lave brûlent toute la ville mais épargnent l’église. La lave encercle l’édifice sans l’enflammer. Un miracle qui lui a permis d’être rebaptisée Notre Dame des Laves.

     

    Cette éruption a cependant dévasté la ville de Sainte Rose. Plus de 1500 personnes ont ainsi été évacuées, des champs et forêts brûlées, des maisons détruites et des oiseaux morts par asphyxie à cause du gaz. L’église, elle, a évité le pire : seuls les vitraux ont éclaté à cause de la chaleur. C’est en 1985 que le plancher, la façade, le plafond et les vitraux ont été refaits.

     

    Depuis, Notre Dame des Laves attire les touristes car la coulée de lave qui a encerclé l’église est toujours présente. Elle témoigne du miracle de Saint Rose. A ses côtés, on observe la statue de la Vierge au Parasol. Elle est très vénérée par les Réunionnais car elle protégerait contre les éruptions du Piton de la Fournaise. Elle était installée sur le site de Grand Brûlé mais a été déplacée en 2000.

     

    Elle était menacée par des coulées de laves et il a donc été décidé de la mettre aux cotés de l’église Notre Dame des Laves afin de la protéger. La présence de cette statue donne un aspect encore plus « fantastique » à ce lieu marqué par l’histoire.

    Le Piton de la Fournaise, gardien de Notre Dame des Laves

    Vous ne pouvez pas aller à Sainte Rose sans aller explorer le volcan actif du Piton de la Fournaise culminant à 2632 mètres et ses alentours. Ce volcan menace la ville de Sainte Rose à longueur de temps. Il est en effet situé en partie sur le territoire de la ville. Cependant, aussi menaçant soit-il, il attire de nombreux touristes car cet espace diffère des autres sites présents sur l’île.

     

    On retrouve ainsi près de Sainte Rose les fameuses coulées de lave séchées. Ces coulées se végétalisent, on retrouve en premier lieu du lichen, puis des fougères et des arbustes poussent. Certains endroits sont recouverts de lave froide et de roches volcaniques et affichent des couleurs naturelles telles que l’ocre, le noir ou le rouge. Sainte Rose est une ville qui a su garder son authenticité. Marqués par l’histoire, ses habitants tiennent également à garder leurs traditions.

     

    Notre Dame des Laves à Saint Rose fait partie de la longue liste des visites à faire sur l’île de La Réunion. Au Cœur du Voyage est là pour vous aider à trouver le séjour qui vous convient le mieux.

    https://www.aucoeurduvoyage.com/blog/2013/03/eglise-notre-dame-des-laves

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    Ci-dessus j'ai réussi à prendre la photo de l'église (par la vitre côté passager, mon mari conduisait).

    FIN POUR GRANDE-ANSE

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    Puisque je parle du miracle de cette église, je vais rester dans le même sujet avec deux histoires de miracles du site http://www.histoires-paranormales.fr/

     

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    Jean Hilliard : gelée à mort, elle revient à la vie

     

    C’est un des cas les plus mystérieux de l’histoire qui n’a toujours pas trouvé d’explication rationnelle. Le 20 septembre 1980, la voiture de Jean Hilliard, une Américaine de 19 ans, dérape sur une route glacée et atterrit dans un fossé.

     

    La jeune femme, indemne, n’a pas d’autre choix que de s’extirper du véhicule accidenté, la température extérieure étant de -30°C. Seule, dans un endroit très reculé au nord du Minnesota, elle décide de marcher en direction de la maison d’un de ses amis, située à 3,2 km.

     

    Le trajet est malheureusement plus périlleux qu’il n’y parait en raison du froid glacial et de l’épaisse couche de neige tombée au sol.

     

    Aux alentours d’une heure du matin, la malheureuse ne parvient plus à trouver la force de marcher et s’effondre dans la neige, à bout de souffle. Elle reste évanouie pendant plus de 6 heures…et son corps se congèle, telle une poupée de glace.

     

    Après qu’un habitant ait fait sa découverte vers 7h du matin, Jean Hilliard est immédiatement conduite à l’hôpital de Fosston.

     

    Les médecins sont abasourdis : sa peau est trop dure pour la percer avec une aiguille hypodermique et  sa température corporelle est trop basse pour s’inscrire sur un thermomètre. Son corps est rigide, son visage est cendré et ses yeux solides, sans réponse à la lumière.

     

    Toutefois, Jean Hilliard n’est pas morte puisque son pouls indique 12 battements par minute

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    Sa famille se rassemble dans la prière, espérant un miracle. Deux heures plus tard, Jean entre dans de violentes convulsions et reprend conscience. Ses mains et ses jambes commencent à fondre et elle retrouve l’usage de ses jambes dès le troisième jour d’hospitalisation.

     

    Bien qu’un peu confuse, elle est en parfaite santé, aussi bien mentalement que physiquement. Elle a pu quitter l’hôpital 49 jours plus tard, sans aucun dommage.

     

    Véritable miracle, qu’en pensez-vous ?

     

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    Les miraculés de Lourdes

     

    7/2/19 : Grande-Anse à la Réunion (FIN) etc...

     

    Sur quelque 7 000 dossiers de guérison déposés à Lourdes depuis les apparitions, 68 cas ont à ce jour été reconnus miraculeux par l’Église.

     

    Quelques statistiques sur les 68 miraculés

    80% des miraculés sont des femmes. Le plus jeune miraculé avait 2 ans. Les pays d’origine des miraculés sont la France (56 miraculés), l’Italie (6), la Belgique (3), l’Allemagne (1), l’Autriche (1) et la Suisse (1). 6 miraculés  affirment avoir été guéris par l’intercession de Notre-Dame de Lourdes alors qu’ils n’étaient pas venus à Lourdes. La majorité des miraculés a été guérie au contact de l’eau de Lourdes (49 miraculés parmi lesquels 39 guéris aux piscines).

     

    Quelques histoires incroyables

     

    Francis PASCAL de Beaucaire (France). Cécité, paralysie des membres inférieurs. 3 ans 10 mois au 31-08-1938. Diocèse et date de reconnaissance : Aix-en-Provence 31-05-1949.

     

    Il recouvre la vue et se remet à marcher !

    C’est la deuxième guérison d’un tout petit enfant, parmi la liste des miraculés. Son histoire n’est révélée que huit ans après les faits en raison de la Seconde Guerre mondiale. En décembre 1937, une méningite vient briser le cours de la jeune existence de Francis. A 3 ans et 3 mois, les séquelles que cette terrible maladie charrient sont bien lourdes à porter pour lui et sa famille : paralysie des membres inférieurs et, à un moindre degré, des membres supérieurs, et perte de la vue. Le corps médical lui donne une toute petite espérance de vie…Et ceci est certifié par une bonne dizaine de médecins, qui ont été consultés avant que l’enfant soit amené dans cet état à Lourdes, à la fin août 1938. C’est à la suite du deuxième bain que l’enfant recouvre la vue, et que sa paralysie disparaît. Dès son retour chez lui, il est à nouveau examiné par des médecins. Ils parlent alors de guérison certaine et médicalement inexplicable.

     

    Vittorio MICHELI de Scurelle (Italie). Sarcome de la hanche gauche. 23 ans au 01-06-1963. Diocèse et date de reconnaissance : Trento 26-05-1976.

     

    Le chasseur alpin et le redoutable cancer !

    Qui pourrait se douter que le brancardier Vittorio Micheli  est le 63ème miraculé de Lourdes, lui qui est si discret et si souvent à Lourdes pour servir avec simplicité les malades ? En 1962, le jeune chasseur alpin Micheli est admis à l’hôpital de Vérone, en Italie. Il souffre terriblement d’une hanche. Le diagnostic tombe peu après, comme un couperet : la cause du mal est une tumeur cancéreuse redoutable, un sarcome. Quand Vittorio arrive à Lourdes en 1963, son articulation est très atteinte. Pendant son pèlerinage, rien de notable, sinon qu’il est baigné dans l’eau de Lourdes. A son retour, on l’oblige à réintégrer l’hôpital militaire. Des contrôles radiographiques y sont effectués, et inexplicablement, ils sont interprétés de façon erronée. Ce n’est que six mois plus tard que l’état général excellent de Vittorio suscite l’interrogation… les examens montrent une reconstruction osseuse dont les premiers signes remontent à plus de cinq mois. Les douleurs ont cessé et la marche est redevenue possible. Vittorio est guéri.

     

    Serge PERRIN du Lion d’Angers (France). Hémiplégie droite itérative, avec lésions oculaires, par troubles circulatoires carotidiens bilatéraux. 41 ans au 01-05-1970. Diocèse et date de reconnaissance : Angers 17-06-1978.

     

    Venu à Lourdes pour faire plaisir à son épouse !

    En décembre 1968, Serge est subitement frappé d’une hémiplégie. A la suite d’investigations multiples, on diagnostique une carotide bouchée (thrombose carotidienne). Il revient alors chez lui où il ne peut que subir la progression de sa paralysie. En désespoir de cause, il part pour Lourdes en 1969. Il en revient dans le même état alarmant : troubles visuels ; éclipses, impotence physique. Il est révolté de se voir ainsi diminué. L’année suivante, cette fois sans espoir, il veut bien participer au pèlerinage d’Angers. Après un début plus que pénible, le dernier jour arrive. Au programme le matin : Onction communautaire des malades. Là, il commence à ressentir des sensations inédites. L’après-midi, il découvre qu’il marche mieux sans ses cannes anglaises, qu’il voit mieux sans ses lunettes !! Et il part de Lourdes avec l’assurance d’être guéri, ce que confirmeront les médecins.

     

    Delizia CIROLLI de Paternò (Italie). Sarcome d’Ewing du genou droit. 12 ans au 24-12-1976. Diocèse et date de reconnaissance : Catania (Italie) 28-06-1989.

     

    La prière plutôt que l’amputation !

    Delizia Cirolli est devenue mère de famille et infirmière. C’est une double vocation qui a fait irruption dans sa vie comme un cadeau et contre toute attente. Car, en mars 1976, la vie de la fillette sicilienne de 11 ans a d’abord pris un tour dramatique. Elle marche difficilement en raison d’un genou douloureux. Le médecin spécialiste consulté annonce qu’il faut l’amputer, sinon la tumeur, dont elle est atteinte, pourrait lui être fatale. Les parents refusent cette amputation, et tous ceux qui connaissent la petite Delizia se mettent en prière pour sa guérison, se cotisant pour qu’elle puisse aller en pèlerinage auprès de Notre-Dame de Lourdes que les Siciliens vénèrent particulièrement. Pendant l’été, Delizia peut y partir avec sa mère. Elle en revient épuisée, sans vrai changement. Et peu de temps avant Noël 1976, alors que son état s’aggrave et que son entourage pressent sa fin toute proche, la guérison survient, totalement à l’improviste. Très rapidement, la jeune fille reprend vie, mange, marche, repart en classe. Devenue Madame Costa, elle est désormais maman de plusieurs enfants.

     

    Jean-Pierre BELY de La Couronne (France). Sclérose en Plaques évolutive depuis 15 ans. 51 ans au 9.10.1987. Diocèse et date de reconnaissance : Angoulême 9.02.1999

     

    Après l’onction des malades, une profonde paix !

    La famille Bély mène une vie paisible dans son pavillon de la banlieue d’Angoulême. Jean-Pierre, marié à Geneviève et père de deux enfants, est infirmier à l’hôpital, jusqu’à ce que les premiers symptômes d’une sclérose en plaques apparaissent, en 1972. L’état de Jean-Pierre se dégrade d’année en année, si bien qu’il est bientôt déclaré « invalide à 100% à titre définitif avec bénéfice d’une tierce personne ».  En octobre 1987, alors qu’il est devenu grabataire, il se rend à Lourdes pour le pèlerinage du Rosaire. Après l’onction  des malades, le troisième jour, il ressent une profonde paix intérieure. Puis, soudainement, il retrouve la sensibilité tactile et peut à nouveau bouger. Sur le coup, il n’ose pas se mettre debout… Dans la nuit suivante, une voix intérieure lui répète : «Lève-toi et marche». Ce que fait Jean-Pierre Bély. Comme il aime lui-même le souligner,  «le Seigneur a guéri d’abord mon cœur, et ensuite mon corps». Après douze ans d’enquêtes médicales, Mgr Claude Dagens, évêque d’Angoulême, suite à l’avis favorable d’une commission canonique, déclare que cette guérison est «un signe effectif de Christ Sauveur, qui s’est accompli par l’intercession de Notre-Dame de Lourdes».

     

    Anna SANTANIELLO de Salerne (Italie). Décompensation cardiaque par maladie mitrale suite à un rhumatisme articulaire aigü. 41 ans au 19-08-1952. Diocèse et date de reconnaissance : Salerne (Italie) 21-09-2005

     

    Entrée sur une civière aux piscines, elle en ressort debout

    Née en 1911, Anna Santaniello est une grande malade cardiaque à la suite d’un rhumatisme articulaire aigu. Elle présente une «dyspnée intense et persistante», ou maladie de Bouillaud, entraînant une pénibilité à parler et une impossibilité à marcher, des crises d’asthme intenses, une cyanose de la face et des lèvres et un œdème ascendant des membres inférieurs. Le 16 août 1952, elle se rend en pèlerinage à Lourdes avec l’organisation italienne UNITALSI (Union Nationale Italienne de Transport des Malades à Lourdes et dans les Sanctuaires Internationaux. Elle fait le voyage à Lourdes par le train sur une civière. Durant son séjour, elle est logée à l’asile Notre-Dame (ancêtre de l’actuel Accueil Notre-Dame, dans les Sanctuaires) et fait l’objet d’une surveillance constante. Le 19 août, on la conduit aux piscines sur sa civière. Elle en ressort par ses propres moyens. Le soir même, elle participe à la procession mariale aux flambeaux. Le 21 septembre 2005, la guérison miraculeuse d’Anna Santaniello est reconnue officiellement par Mgr Gerardo Pierro, archevêque de Salerne. Anna Santaniello a confié plus tard que, étant malade, elle n’avait pas prié pour elle-même à Lourdes, devant la Grotte, mais pour un jeune homme de vingt ans, Nicolino, qui avait perdu l’usage de ses jambes à la suite d’un accident. Célibataire, elle a soigné des centaines d’enfants défavorisés depuis son retour en Italie, en exerçant le métier d’infirmière puéricultrice.

     

    Catherine LATAPIE de Loubajac (France). Paralysie de type cubital, par élongation traumatique du plexus brachial, depuis 18 mois. 38 ans environ au 01-03-1858. Diocèse et date de reconnaissance : Tarbes, Mandement de Mgr Laurence, du 18-01-1862.

     

    Le jour de sa guérison, elle accouche d’un futur prêtre

    Dans la nuit du 28 février 1858, mue par une inspiration soudaine, Catherine se lève à 3 heures du matin, réveille ses jeunes enfants et se met en route à pied pour Lourdes. Depuis pratiquement deux ans, son rôle de mère de famille est devenu trop lourd à porter. Elle doit assumer ses tâches comme avant, malgré l’invalidité de sa main droite après cette chute d’un arbre, en octobre 1856. A l’aube du 1er mars 1858, elle arrive à la Grotte, s’agenouille et prie. Et puis très simplement, elle baigne sa main dans ce mince filet d’eau boueuse qu’est encore la source, seulement trois jours après sa mise à jour par Bernadette sur les indications de « la dame ». Aussitôt ses doigts se redressent et retrouvent leur souplesse. Elle peut à nouveau les allonger, les fléchir, s’en servir avec autant de facilité qu’avant l’accident. Mais elle doit entrer chez elle… et le jour même – c’est ce qui permet d’affirmer le jour de sa guérison – elle met au monde son troisième enfant, Jean-Baptiste, qui, en 1882, deviendra prêtre.

     

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    C'est terminé pour ce jour, j'ai encore été longue mais vous reviendrez n'est-ce pas !!!!! je vous remercie pour vos commentaires, vos visites.

     

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    Portez-vous bien surtout !

    Je vous envoie une envolée de gros bisous d'amitié à vous partager de mon ti rocher.

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